jeudi 29 novembre 2007

Ames sensibles s'abstenir !

La fin d'un mythe !

Comme quoi une coupe de cheveux vous change un homme ! Qu'on s' le dise :-)

P.S : Du coup j'ai un doute ! Vous l'avez bien reconnu ?

mardi 27 novembre 2007

PROBLEMatique

C'est bientôt à mon tour de présenter la problématique et les hypothèses de mon travail de mémoire.
Mais c'est pas POSSIBLE. Comment faire ça sans avoir rien lu ??? Je serais peut-être censée avoir déjà lu quelque chose ! C'est surement ça.
Mais quoi qu'il en soit je suis plutôt du genre à lire une bonne dizaine de bouquins avant de n'oser émettre la moindre hypothèse sur un sujet.

C'est une maladie : Le perfectionnisme.
Ce qui pousse à toujours tout remettre au lendemain (ça bien sûr et aussi les sorties, les séries, les amis, la bouffe, la musique, les DVD, Internet, la famille.........).
En tout cas c'est le genre de maladie qui empêche de commencer à écrire le moindre mot sans l'avoir peser, réfléchi, penser, analyser, cogiter, retourner...
C'est l'attente de la phrase parfaite, du meilleur mot, de l'idée génialissime... Toutes ces illusions qui poussent à attendre le dernier moment, le pied du mur, quand plus aucune réflexion ne s'avère possible et qu'il faut bien se lancer, puisqu'on n'a plus le choix !
Pour des gens comme moi, le délai unique (14 JANVIER) est un vrai cauchemar. NON ça ne devrait pas exister le délai unique. Celui qui est censé encourager les étudiants à s'organiser. Il court déjà à ma perte !

Tout ça pour dire que j'hésite encore entre trois sujets. Un prof avait dit un jour : "un travail de mémoire est essentiellement un travail de deuil". Il avait raison.
Mais je les veux TOUS mes sujets !!!!!
J'ai jamais eu de problèmes pour trouver des idées mais plutôt pour les canaliser, en choisir une et la mener à bien.
Je veux les cultures jeunes, la communication de l'art, la pub et la mode... Mettre mes trois thèmes ensemble pour n'en faire qu'un !

Pendant un moment j'ai vraiment cru que ça pouvait être la solution miracle. LE NON-CHOIX !
J'ai vite déchanter quand je me suis rendue compte que ça compliquait sensiblement les choses. Mais comme on dit : "Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué". Malgré moi c'est quand même un peu ma devise.
Et ça s'applique à toutes sortes de choses de la vie quotidienne et bien évidemment aux relations.
A croire que j'ai un attrait inconscient pour tout ce qui est insaisissable.
"J'ai tout pour être heureuse mais pas stable "

C'est bon d'être chez soi !

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! j'ai enfin trouvé un chez moi :-)
Fini les visites, les déceptions, l'attente de coups de téléphone qui n'arrivent jamais... Fini et bien fini !
Je peux vous dire que ça soulage. Surtout depuis que ma chambre chez mes parents a été transformée en bureau !!!! En même temps fallait s'y attendre depuis quatre ans, fallait bien que ça arrive un jour. Mais juste au moment où je trouve pas d'appart ça file un coup tout de même :-)

Enfin, maintenant ça y est ! J'ai un chez moi. Ou je devrais plutôt dire un chez "nous"!
Car je m'apprête à découvrir les joies de la collocation. J'ai un peu tout fait à l'envers faut dire, d'abord en couple, puis seule et enfin en colloc. Tout l'inverse du processus normal !!!!
J'avoue que sous certains aspects ça m'effraie un peu, surtout à 4, c'est peut-être un peu radical pour un début ?
Mais ce qui est cool c'est que la parité est respectée : deux filles, deux garçons.
Non parce que vous imaginez le cauchemar quatre filles dans un appart !!!!

En plus, il a un mélange des nationnalités. J'habiterais donc avec un espagnol, une allemande et un jurassien (oui c'est bel et bien une nationnalité à part entière !). Ils sont vraiment drôles et ça c'est un critère important. Même si ça pousse pas vraiment à travailler. Faudra sûrement que j'apprenne à être plus disciplinée.
Enfin je pense que de toute façon c'est une bonne expérience et la vie en communauté c'est un peu maintenant où jamais !

C'est juste un peu bizarre au moment où la plupart de mes amies emménagent avec leur copain. Une sorte de petit retour en arrière. Peut-être nécessaire ?
C'est ce sentiment diffus, cette impression persistante qu'un écart est doucement en train de se creuser. Même si on essaie de détourner le regard et de faire comme si de rien n'était.

C'est peut-être bien la fin d'une époque...

lundi 26 novembre 2007

Mode

La semaine passée je suis allée voir mon premier défilé de mode. Un concours de jeunes stylistes suisses organisé par le magazine Femina.

C'était vraiment une expérience particulière quasi sociologique. Le défilé ne se déroulait pas tant sur le Podium qu'avant et après le défilé. A croire que tous les gens présents avaient sorti leur tenue Fashion "spécial défilé". Dans ces conditions, il n'en fallait pas beaucoup pour être décalée : un jeans et un pull noir. C'est dans la tenue la plus banale qu'on se sentait vraiment différent ! Dans le monde de la mode les codes habituels semblent donc inversés, l'uniforme n'est pas le même que dans la rue. Beaucoup plus recherché soit ! Mais au final tout aussi conforme.

Au-delà de ça, le défilé, le "Vrai", était excellent, les collections imaginées par les jeunes créateurs suisses vraiment originales et recherchées. J'ai particulièrement aimé le style de la collection d'Elodie Garcia intitulée "Tribu", son côté Streetwear, urbain, excentrique dont j'aurais volontiers porté certaines tenues.

Elle a d'ailleurs gagné plusieurs prix, dont un shooting pour le magazine Citizen K.

En tout cas, ça fait du bien de voir qu'en Suisse on a rien a envier à d'autres pays dans le domaine de la mode. Il faudrait plus d'occasion de ce genre pour mettre en lumière les talents des jeunes artistes suisses et dans tous les domaines !

samedi 17 novembre 2007

Chat alors !


Voilà la dernière tendance japonaise :
le déguisement Hello Kitty pour chat !

Que de poésie :-)

mardi 13 novembre 2007

Fashion

Il est pas beau mon sac Ghetto Blaster ?


Je voulais l'utiliser pour frimer en cours mais en faite le format serait plutôt sac de sport !

Espérons que ça me motive à m'y mettre :-)

lundi 12 novembre 2007

Boîte à Musique

Qu'est-ce que le Hip Hop ?




Le premier clip de Hocus Pocus réalisé par Arthur King : "Hip Hop ?" feat the Procussions.

dimanche 11 novembre 2007

Glissement !

Ce blog était censé aborder le processus de création de mon travail de mémoire et je me rends compte qu'il se transforme (inévitablement) en manifeste pour le logement à Genève.

En faite, je suis plutôt du genre "idée fixe", quand j'ai un truc dans la tête ou qui me prend la tête, je ne peux penser qu'à ça !
Serais-je un HOMME ?!?!!!!

Et en ce moment (pas de chance pour vous), je pense logement, je respire logement, je dors logement, je rêve logement, je vis logment...
Et je n'ai que ce mot à la bouche.

MONOMANIAQUE j'vous dis !

Si l'on en croit le dictionnaire, il s'agirait de monoïdéisme : concentration volontaire ou pathologique de la pensée sur un seul thème.

Me voilà rassurée !

Logement. ENCORE !!!!

Petite leçon d'urbanisme par Benoît Poelvoorde !

samedi 10 novembre 2007

Passion destructrice

Ce soir, je suis allée voir "la fille coupée en deux" de Chabrol, un film noir magnifique dont j'avais envie de vous parler. Comme les mots me manquent, je préfère m'effacer derrière ceux de ce critique dont je partage beaucoup le sentiment. Et j'augmenterais, du même coup, la légitimité de mon discours ! (sic)


C'est un article de Jean-Sébastien Chauvin pour Chronicart.com, magazine culturel en ligne :


"Quand le nouveau film de Chabrol débute, on est immédiatement saisi par une impression de fausseté qui tient tout à la fois au jeu des comédiens et à une manière presque artificielle de les mettre en scène. Le cinéaste aurait-il raté son coup ? Pas de panique, La fille coupée en deux (quel beau titre) est bien un film de Chabrol, et à ce titre un objet dont tous les effets sont savamment conçus et dosés. La fausseté est bien entendu un indice, une subtilité formelle et même plus que cela : le cœur même de la mise en scène chabrolienne.

Soit une jeune femme ambitieuse et indépendante qui s’éprend d’un écrivain pervers, tandis qu’un riche héritier schizophrène, vouant une haine sans nom à l’écrivain, la poursuit de ses assiduités. Il y a chez Chabrol une manière de décrire chaque personnage comme un monde étrange et inquiétant, et le rôle titre, qui est au fond le seul personnage à garder pour soi une innocence, une candeur et une sincérité qui détonent dans cet univers de faux semblants, est peut-être le plus étrange d’entre eux. Cette fausseté, avec son côté criard et presque vulgaire, est ce qui donne aux personnages leur foncière impénétrabilité, comme si les multiples jeux sociaux les avaient transformés en de simples enveloppes vides, des pantins sans fond qui n’ont d’existence que de classe – il y longtemps qu’on n’avait pas ressenti au cinéma une telle violence dans les rapports sociaux, sans que jamais la classe ouvrière ne soit montrée, comme c’est généralement le cas des films à tendance marxiste (et La Fille coupée en deux est beaucoup plus que cela).

L’aspect balzacien du film vient sans cesse rencontrer un art consommé de la caricature, si bien que toutes les figures qui se succèdent semblent toujours un peu décalées, criant leur vérité à cause d’un détail incongru mis en avant par le cinéaste ou le comédien, et prenant du coup une ampleur dérangeante dans sa drôlerie même. Car Chabrol dépasse aisément le discours convenu sur les faux-semblants ou sur la soi-disant fausseté du monde moderne (dont la télévision serait le refuge idéal), pour montrer que tout ici, absolument tout, repose sur cette fausseté, et qu’en un sens il en a toujours été ainsi : les nouveaux riches comme les dynasties aristocrates, le monde politique comme celui de la télévision, le neuf comme le vieux, au point que les stratégies mises en place par chacun finissent immanquablement par acheminer les hommes vers une forme de néant intérieur, d’absence à eux-mêmes et pour finir vers la folie (en ce sens Chabrol transcende ce qu’il y avait déjà à l’œuvre dans certains de ses films comme Masques ou Merci pour le chocolat). Dans le double fond des êtres il n’y a peut être rien, plus aucune morale fondatrice, et donc une impossibilité de fonder une communauté sincère. Une sorte de zoo humain en somme, où chaque personnage pourrait figurer un animal (ce monde-là c’est la jungle, la défense exclusive de ses propres intérêts), même si tout ici est poussé à un tel degré de bizarrerie que le film dépasse toujours le simple jeu de massacre qu’il risque d’être à chaque instant.

La Fille coupée en deux est à la fois d’un pessimisme noir qui ne dépareille pas des derniers Chabrol (sans doute l’entomologiste le plus lucide de la France d’aujourd’hui, avec peut-être Mocky), et un film piquant et vif comme son personnage principal qui, même dans l’adversité, ne s’apitoie pas sur son sort mais reste droit (à n’en pas douter, la fille coupée en deux c’est Chabrol). De Berléand à Mathilda May en passant par Ludivine Sagnier, Benoît Magimel, Caroline Silhol et beaucoup d’autres, les comédiens jouent leur partition avec la même ironie que Chabrol, la même distance, tout en se jetant à corps perdu dans les tourments de leurs personnages : coupés en deux, eux aussi. Chabrol est décidément un immense cinéaste et tient là une de ses œuvres les plus puissantes. La pirouette finale, qui achève de faire entrer l’héroïne dans une sorte de résistance distanciée, est aussi la marque d’une profonde mélancolie. Puisque tout est faux, autant choisir de mettre en scène le faux, telle est la leçon qu’in fine nous donnent l’héroïne et Chabrol lui-même."


Que dire de plus ? Si ce n'est pour les amateurs du genre "allez le voir" ! Je pense que vous ne serez pas déçu.


P.S : A éviter lors de moments de déprime !

Art Graffiti

Pour ceux qui s'intéresse à l'art contemporain et plus spécialement à l'art Graffiti,
je vous conseille vivement d'aller jeter un oeil à la nouvelle Gallerie qui vient d'ouvrir à Bursins, petit village dans la campagne vaudoise entre Genève et lausanne.

Je vous l'accorde ce lieu peut sembler quelque peu étrange, surtout pour des expos essentiellement consacrées à l'art urbain. Mais le paysage bucolique donne une dimension particulière aux oeuvres exposées, c'est en quelque sorte la confrontation de deux univers !

Pour plus de détails voir : http://www.speerstra.net/

Et si vous souhaitez y aller je serai ravie de vous servir de guide ;-)


P.S : la meilleure façon pour apprécier le Graffiti demeure tout de même, encore et toujours, de prendre le train !

dimanche 4 novembre 2007

Un grand moment de télévision !

Petit Best Of de "Tournez Manège" !

Trop drôle. On n'en fait plus des émissions comme ça :-)